000 | 02076cam a2200241 i 4500 | ||
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001 | 141 | ||
010 | _a978-2-348-06417-3 | ||
090 | _a141 | ||
099 | _tLIVR | ||
100 | _a20230613 frey50 | ||
200 |
_aCeci n'est pas qu'un tableau _eessai sur l'art, la domination, la magie et le sacré _fBernard Lahire _bLIVR |
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210 |
_aParis, France _d2020 |
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215 | _a(758 p.) | ||
330 | _aEn 1657, Nicolas Poussin peint une Fuite en Égypte au voyageur couché. La toile disparaît ensuite pendant plusieurs siècles. Dans les années 1980, différentes versions du tableau réapparaissent, de grands experts s'opposent, des laboratoires d'analyse et des tribunaux s'en mêlent et nombreux sont ceux à vouloir authentifier et s'approprier le chef-d'oeuvre. De quoi nous parle cette histoire aux allures d'intrigue policière ? Qu'est-ce qui fait la valeur d'une oeuvre d'art ? Et d'où vient cette aura attachée aux créateurs et aux oeuvres ? Bernard Lahire montre que le sacré n'a jamais disparu de notre monde mais que nous ne savons pas le voir. La magie sociale est omniprésente dans l'économie, la politique, le droit, la science ou l'art autant que dans la mythologie ou la religion. C'est cet effet d'enchantement qui transforme une sculpture d'animal en totem, un morceau de métal en monnaie, une eau banale en eau bénite ; et qui fait passer un tableau du statut de simple copie à celui de chef-d'oeuvre. Puisant avec érudition dans l'anthropologie, l'histoire et la sociologie, ce livre interroge les socles de croyance sur lesquels nos institutions et nos perceptions reposent. Questionnant radicalement l'art et son ambition émancipatrice, il révèle les formes de domination qui se cachent derrière l'admiration des oeuvres. (4e de couverture) | ||
610 | _aArt – Appréciation | ||
610 | _aArt – Aspect social | ||
610 | _aBH39 | ||
610 | _aEsthétique | ||
610 | _aMystique et art | ||
610 | _aNicolas (1594-1665). La fuite en Egypte | ||
610 | _aPoussin | ||
700 |
_aLahire _bBernard _4070 _92538 |
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801 |
_aTN _b32bis _c20230514 _gUNIMARC |