000 01975cam a2200193 i 4500
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010 _a979-10-92444-71-1
090 _a484
099 _tLIVR
100 _a20230613 frey50
200 _aLe geste du regard
_ehypothèse
_fRenaud Ego
_bLIVR
210 _aAtelier contemporain
_d2019
215 _a(97 p.)
330 _aLa quatrième de couverture indique : "La découverte des peintures de la Préhistoire s'est accompagnée du sentiment très puissant d'assister à une apparition. Cet enchantement a culminé avec la grotte de Lascaux puis avec celle de Chauvet, mais l'éblouissement qui continue d'envelopper les peintures laisse sur nos yeux une taie, semblable à un point aveugle qui ne s'est toujours pas dissipé. Il est vrai que les préhistoriens ont concentré leur attention, non sur ce geste si novateur de rendre visible le monde sous la forme de figures, mais sur les usages supposés de ces premières images : être un passe-temps décoratif ou une tentative d'infléchir le succès de la chasse par "la magie sympathique" : représenter une mythologie, faite de couples d'animaux incarnant une conception sexuée du monde ou encore, être un rituel chamanique de contact religieux. Mais la question de la genèse du dessin demeure entière et, tout environnés que nous sommes par les images, nous avons perdu de vue que cette invention est un prodigieux saut de pensée. Synthétiser une forme ou un être vivant en quelques traits qui saisissent leur apparence est une opération intellectuelle d'une folle portée. Quel a pu être le désir, si patiemment poursuivi, qui a conduit à la naissance de cet art ? De la pensée qui s'est ainsi haussée jusqu'au dessin, peut-on reprendre le trajet ? Le geste du regard est l'hypothèse de son acheminement vers la figure."
610 _aArt pariétal
610 _aArt préhistorique
610 _aPeinture pariétale
700 _aEgo
_bRenaud
_4070
_93072
801 _aTN
_b32bis
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