000 | 01859cam a2200217 i 4500 | ||
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001 | 727 | ||
010 | _a978-2-37435-004-2 | ||
090 | _a727 | ||
099 | _tLIVR | ||
100 | _a20230613 frey50 | ||
200 |
_aLe pouvoir de l'art _fMarkus Gabriel _fBernard Préfacier Géniès _fPascale-Marie Deschamps _bLIVR |
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210 |
_aParis, France _d2018 |
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215 | _a(104 p.) | ||
330 | _a"Le regard exercé ou curieux, vous pensiez peut-être qu'en vous rendant à la Biennale de Venise ou à l'Art Basel, vous alliez voir des oeuvres d'art exposées à votre attention ; ou au multiplex de quartier que vous alliez voir un film sur grand écran. C'était vrai jusqu'à ce que Markus Gabriel s'en mêle. Le jeune prodige de la philosophie allemande le démontre avec virtuosité : ce n'est pas vous qui décidez si ce que vous voyez est une oeuvre d'art, ni même l'artiste ou les collectionneurs, encore moins les critiques d'art ou de cinéma. C'est l'oeuvre elle-même en prenant possession de vous. Car c'est vous qui vous vous exposez à elle et non l'inverse. Le Penseur de Rodin vous fait penser, Alien fait de vous l'hôte du film étrange que vous regardez et les images d'Inception s'implantent en vous, comme l'indique le titre du film. L'art, explique l'auteur iconoclaste de Pourquoi le monde n'existe pas (JC Lattès, 2013), et de Pourquoi je ne suis pas mon cerveau (JC Lattès, 2017), a pris le contrôle de l'esprit humain depuis les grottes de Lascaux. C'est l'art qui nous rend humains. C'est là son immense pouvoir, pour le meilleur et pour le pire." (4e de couverture" | ||
610 | _aArt – Appréciation | ||
610 | _aArt – Philosophie | ||
610 | _aJugement esthétique | ||
700 |
_aDeschamps _bPascale-Marie _4070 _93721 |
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700 |
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700 |
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801 |
_aTN _b32bis _c20230514 _gUNIMARC |